Sortie très agréable, petits cafés avant et après le concert dans le parc.
En sus visite du concours annuel et international de dahlia. Superbe et surprenant pour les amateurs.
Marie-Claude nous y a conduit.
Yvan : concert original
Patrick : trop conceptuel pour moi. j'ai bien aimé la pièce intitulée "Hommage à Foret"
Luc : j'ai bien aimé le fait de faire correspondre la musique avec les couleurs. Cela laisse l'imaginaire associer les couleurs avec la musique.
Marie-Claude : j'ai bien aimé le programme de Zigel. Les graves les aigus mélangés se rapportaient aux couleurs.
Sébastien : Je trouve que c'était très original comme musique. j'ai beaucoup aimé.LES COULEURS DE LA MUSIQUE
Concert d’improvisation
Jean-François Zygel, piano
Fil-rouge d’un été musical au Parc Floral
MUSIQUE ET PEINTURE - ondes
Anges musiciens chez Memling, mandoline chez Watteau, fosse d’orchestre chez Degas, violon chez
Matisse, guitare chez Picasso… Musique et peinture sont soeurs, « les deux arts étant fondés sur l’harmonie
qui est d’essence mathématique » (Jean Clair). La représentation de la musique tient dans la peinture
occidentale une place jamais démentie et, dans une belle réciprocité, la couleur, le chromatisme, sont une
source d'inspiration infinie pour le musicien et l'improvisateur.
Certains peintres, certains tableaux, sont indissociables d'esthétiques musicales. Ainsi, Der Wanderer (1818),
le tableau du peintre allemand Carl David Friedrich, est l'expression parfaite du romantisme allemand en
général et du monde de Schubert en particulier. Quelques années après que Friedrich a composé son
oeuvre, Schubert écrira des pièces portant ce même titre. En choisissant ce nom, le trio Wanderer a fait en
réalité une profession de foi. Il poursuit cette liaison fertile entre la musique et la peinture en mettant en
regard le compositeur Turina avec Goya et le jeune Picasso, Aaron Copland avec Chagall et Schubert, bien
sûr, avec le tableau de Carl David Friedrich.
Anges musiciens chez Memling, mandoline chez Watteau, fosse d’orchestre chez Degas, violon chez
Matisse, guitare chez Picasso… Musique et peinture sont soeurs, « les deux arts étant fondés sur l’harmonie
qui est d’essence mathématique » (Jean Clair). La représentation de la musique tient dans la peinture
occidentale une place jamais démentie et, dans une belle réciprocité, la couleur, le chromatisme, sont une
source d'inspiration infinie pour le musicien et l'improvisateur.
Certains peintres, certains tableaux, sont indissociables d'esthétiques musicales. Ainsi, Der Wanderer (1818),
le tableau du peintre allemand Carl David Friedrich, est l'expression parfaite du romantisme allemand en
général et du monde de Schubert en particulier. Quelques années après que Friedrich a composé son
oeuvre, Schubert écrira des pièces portant ce même titre. En choisissant ce nom, le trio Wanderer a fait en
réalité une profession de foi. Il poursuit cette liaison fertile entre la musique et la peinture en mettant en
regard le compositeur Turina avec Goya et le jeune Picasso, Aaron Copland avec Chagall et Schubert, bien
sûr, avec le tableau de Carl David Friedrich.
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